L’ancien chef de l’état en visite en Bretagne vendredi dernier a fait une mauvaise chute et s’en tire avec quelques points de suture.
François Hollande n’aurait-il pas trop le pied marin ? Après sa mésaventure survenue à Saint Malo, où il était en visite vendredi 28 août, on pourrait bien le penser. Que s’est-il donc passé lors de cette folle journée d’été ? Et bien, selon nos confrères de Ouest France, le compagnon de Julie Gayet a pris la direction de la Bretagne, bien décidé à apporter son soutien à Thibault Vauchel-Camus. Le skipper qui navigue sous les couleurs de l’Arsep, la fondation pour l’aide à la recherche sur la sclérose en plaques et l’information médicale et scientifique, l’avait en effet invité pour un petit tour en bateau à bord de son multi coques.
e mauvais temps fautif ?
Après un déjeuner des plus instructifs et une interview accordée à nos confrères de Ouest France, François Hollande a pris la direction du port… Sous des trombes d’eau ! Un élément qui décidément ne sied pas à l’ancien chef de l’état, dont la mandature a, hélàs, souvent été marquée par des événements se déroulant sous un ciel peu clément. Loin de se laisser abattre, l’homme politique, bien équipé, monte à bord. Et s’offre alors une belle sortie. Car malgré les conditions de mer mouvementées, celle-ci se déroule très bien. En revanche, le retour au port, lui, un peu moins. En effet, lors de la manœuvre de débarquement, pour quitter le semi-rigide de Vauchel-Camus, l’ancien président a perdu l’équilibre et s’est occasionné une plaie importante au crâne. Des blessures qui ont nécessité une visite dans un cabinet médical de la cité corsaire malouine et la pose de deux points de sutures.
Quelques points et on repart !
François Hollande a-t-il ensuite écourté sa visite ? Pas du tout ! Puisque c’est bon pied, bon oeil qu’il a accepté d’honorer l’invitation de Gilles Lurton, le maire de Saint-Malo, à l’hôtel de ville. Non mais ! C’est pas un petit bobo qui va lui ruiner cette belle journée d’été bretonne ! Finalement, beaucoup plus de peur que de mal pour l’ancien président qui a par ailleurs confié n’avoir aucune ambition politique pour l’heure mais « en revanche, je peux être utile à mon pays, par mes idées et mon expérience, dans la crise qu’il traverse aujourd’hui. Une candidature suppose des conditions et pas simplement une ambition« . 5