dimanche, novembre 24, 2024
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CIV/Cotisation du Coges. La Fesci entend agir dès la reprise des cours

La Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) envisage investir les écoles pour s’assurer du respect des montants des cotisations du Coges. Dans une conférence de presse animée par son secrétaire général national, Allah Saint-Claire dit National Makélélé, la Fesci entend changer les choses dans le système éducatif de Côte d’Ivoire. C’était ce mardi 10 novembre 2020 au siège de la fédération au sein du campus de l’université de Félix Houphouët-Boigny à Cocody.

La Fesci avait annoncé, par la voix de son secrétaire général national Allah Saint-Clair, une grève pour dénoncer et exiger la suppression des cotisations du Coges ainsi que la réhabilitation de plus de 20 000 élèves emprisonnés et accusés de fraude. Cette grève, entamée le 19 octobre 2020, a été suspendue pour négociation avec le premier ministre Hamed Bakayoko. Sur la résolution de ces deux revendications, le secrétaire général indique que « les négociations ne tiennent qu’à des promesses ».

Ainsi, la Fesci a pris sur elle de poser certaines actions dans le but d’accélérer les démarches. Elle a donc décidé ce qui suit : « dès la reprise des cours, la Fesci ira constater dans tous les Lycées et collèges l’effectivité des propos de Madame Kandia Camara à savoir ‘’en dehors des 6000 Frcfa/ 3000 Frcfa que l’élève paie en ligne pour son inscription aucun autre frais ne lui est obligatoire’’ » ensuite une Assemblée générale servira de cadre pour faire le point de la situation.

Le national Makélélé n’a pas manqué de déplorer l’incarcération des élèves dans plusieurs prisons à l’intérieur du pays et insiste pour dire que « les maisons d’arrêt ne sont pas des endroits pour des élèves et des étudiants qui revendiquent des conditions meilleures et leur droit à l’éducation ». Toutefois, il ose croire également que le report de la reprise des cours au lundi 16 novembre 2020 servira au gouvernement à trouver des solutions à leurs différentes préoccupations. Parce que la Fesci avait effectivement prévu reprendre la grève ce lundi 9 novembre dernier.

Allah Saint-Clair a tenu à réitérer la position de la Fesci face à la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire. « Nous tenons à répéter une unième fois à qui voudrait bien l’entendre que l’unique raison de notre engagement est la défense des intérêts des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire. La Fesci pour rappel est une association apolitique à caractère syndical dont la mission fondamentale est défendre les intérêts des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire et rien d’autre » a-t-il martelé.

La Fesci avait annoncé, par la voix de son secrétaire général national Allah Saint-Clair, une grève pour dénoncer et exiger la suppression des cotisations du Coges ainsi que la réhabilitation de plus de 20 000 élèves emprisonnés et accusés de fraude. Cette grève, entamée le 19 octobre 2020, a été suspendue pour négociation avec le premier ministre Hamed Bakayoko. Sur la résolution de ces deux revendications, le secrétaire général indique que « les négociations ne tiennent qu’à des promesses ».

Ainsi, la Fesci a pris sur elle de poser certaines actions dans le but d’accélérer les démarches. Elle a donc décidé ce qui suit : « dès la reprise des cours, la Fesci ira constater dans tous les Lycées et collèges l’effectivité des propos de Madame Kandia Camara à savoir ‘’en dehors des 6000 Frcfa/ 3000 Frcfa que l’élève paie en ligne pour son inscription aucun autre frais ne lui est obligatoire’’ » ensuite une Assemblée générale servira de cadre pour faire le point de la situation.

Le national Makélélé n’a pas manqué de déplorer l’incarcération des élèves dans plusieurs prisons à l’intérieur du pays et insiste pour dire que « les maisons d’arrêt ne sont pas des endroits pour des élèves et des étudiants qui revendiquent des conditions meilleures et leur droit à l’éducation ». Toutefois, il ose croire également que le report de la reprise des cours au lundi 16 novembre 2020 servira au gouvernement à trouver des solutions à leurs différentes préoccupations. Parce que la Fesci avait effectivement prévu reprendre la grève ce lundi 9 novembre dernier.

Allah Saint-Clair a tenu à réitérer la position de la Fesci face à la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire. « Nous tenons à répéter une unième fois à qui voudrait bien l’entendre que l’unique raison de notre engagement est la défense des intérêts des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire. La Fesci pour rappel est une association apolitique à caractère syndical dont la mission fondamentale est défendre les intérêts des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire et rien d’autre » a-t-il martelé. (Linfodrome)

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