Entre « 300 et 350.000 » personnes n’ont pas pu voter dimanche au Burkina Faso en raison de l’insécurité, lors d’élections présidentielle et législatives qui se sont déroulées dans un contexte tendu, dans ce pays en proie à des attaques jihadistes incessantes. Les explications de Louis Magloire Keumayou, président du club de l’information africaine.