S’il n’est pas reporté en raison d’une dégradation des conditions sanitaires et sécuritaires, ce devrait être le premier voyage à l’étranger du pape François depuis le début de la pandémie de coronavirus. Et pour ce premier déplacement en quinze mois, le souverain pontife a choisi l’Irak. Il y est attendu du 5 au 8 mars pour apporter son soutien à une minorité chrétienne en souffrance depuis la chute de Saddam Hussein en 2003. Mais il doit aussi prôner le dialogue interreligieux et notamment rencontrer le grand ayatollah Ali al-Sistani, la plus haute autorité chiite du pays. (rfi)