Dans le centre du Tigré, les habitants accusent l’armée fédérale et les soldats érythréens d’avoir commis un bain de sang. Une enquête a révélé qu’au moins 182 personnes auraient été tuées le 10 février dans une douzaine de villages dont la ville d’Abi Adi, là où trois humanitaires de Médecins sans frontières ont été assassinés il y a trois jours…(RFI)