L’ONG française est soupçonnée d’avoir « formé des personnes au tir » selon le communiqué publié samedi par le gouvernement local. Ce sont des voisins qui ont alerté la police de Maïduguri, après avoir entendu des détonations provenant d’un hôtel. Sur place, les forces de l’ordre ont saisi trois armes factices, « utilisées par l’ONG française Acted pour des sessions d’entraînement au tir » selon le communiqué du gouvernement local…(RFI)