Dans la nuit de mardi à mercredi, un groupe d’assaillants jusque-là non identifiés a tenté de se ravitailler en armes et en munitions en attaquant les casernes de l’armée et de la police. Après une journée sous haute tension avec l’armée, les activités ont peu à peu repris.
Sur les artères principales de la ville, des vendeurs à la sauvette tentent de rattraper le retard de la journée. Mireille Ushindi tient un petit restaurant.
« Nous vivons au taux du jour et c’était difficile pour moi de rester toute une journée bras croisés, alors j’ai décidé de venir ouvrir mon business. Malheureusement ils n’y a pas de clients, apparemment ils sont encore traumatisés mais l’essentiel est que le calme est revenu, et que je peux encore faire mes activités. »
Place Mulamba, des bistrots sont ouverts, des véhicules et des motos circulent, bien que timidement….(RFI)