Des poursuites, vont-elles réellement être engagées ou encore des sanctions vont-elles être prises, à l’encontre des présumés coupables cités dans le rapport sur la corruption en Afrique du Sud ?
Autant de questions qui restent encore en suspens, surtout que le président Cyril Ramaphosa s’est gardé de commenter le document et promis de se donner le temps avec son gouvernement d’étudier toutes les parties du rapport.
Aussi, faut-il noter que le juge à l’origine du rapport Raymond Zondo doit livrer les deuxièmes et troisièmes parties avant la fin du mois de janvier ou février. Ce qui donne du temps au chef de l’état sud-africain qui est attendu sur cette question cruciale de la corruption dans son pays. Nombreux sont les Sud-Africains qui espèrent voir les responsables de ces actes jugés….(Africanews)