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mercredi, juillet 3, 2024
AccueilALERTEMALI. La petite musique de Wagner va crescendo

MALI. La petite musique de Wagner va crescendo

Comme dans la fable, le Mali guette l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours. L’ours est russe, et il semble être partout et nulle part à la fois. Le 23 décembre, un communiqué conjoint des pays européens engagés militairement au Mali condamnait «fermement le déploiement de mercenaires sur le territoire malien». Un camp de tentes a été construit à la hâte au nord de l’aéroport de Bamako pour loger les nouveaux arrivants russes, détaillaient des sources gouvernementales françaises, selon lesquelles l’implantation du groupe paramilitaire Wagner était déjà «engagée».

«Première altercation»

Le gouvernement malien a démenti «le prétendu déploiement des éléments d’une société de sécurité privée au Mali», tout en admettant que «des formateurs russes sont présents dans le cadre du renforcement des capacités opérationnelles des Forces de défense et de sécurité nationales». Depuis cette date, le pays entier bruisse de rumeurs – enthousiastes ou alarmistes – sur l’arrivée des soldats de Wagner. Dès le 31 décembre, RFI a recueilli «plusieurs témoignages concordants» faisant état de la présence d’hommes blancs, en treillis, dans un convoi de l’armée malienne quittant Bamako pour Sévaré, dans le centre du pays.

Quelques jours plus tard, le journaliste de France 24 Wassim Nasr révélait «une première altercation», le 3 janvier, «entre Wagner et jihadistes», dans le secteur de Mandoli, entre les villes de Bandiagara et Bankass, en pays dogon. Vendredi, le Monde confirmait l’information et ajoutait un bilan : l’embuscade, qui a eu lieu après qu’un véhicule a sauté une mine, aurait fait un mort et deux blessés parmi les combattants russes.

Camp des forces spéciales

A une quarantaine de kilomètres plus à l’ouest, des «soldats blancs en patrouille avec des Maliens» ont également été signalés à Libération par trois sources locales à proximité de la ville de Sofara. La localité abrite un camp des forces spéciales maliennes, l’unité que commandait l’actuel chef de la junte, le colonel Assimi Goïta, avant le putsch qui a renversé le président Ibrahim Boubacar Keïta à l’été 2020. Or pour la première fois, cette semaine, l’armée malienne a protesté contre le survol du camp de Sofara par un aéronef de la Minusma, la force onusienne de maintien de la paix, allant jusqu’à menacer d’ouvrir le feu.

Dans ce secteur, les militaires maliens ont été récemment accusés d’avoir commis des exactions à l’encontre des populations civiles. Mardi, huit hommes du village peul de Nia Wouro, à une quinzaine de kilomètres de Sofara, ont été arrêtés par des soldats maliens. «Ils ont été frappés, embarqués a bord de deux véhicules militaires. Ils ont aussi brûlé des cases, des greniers et des mobylettes, indique un responsable local. Le lendemain, on a retrouvé les corps des quatre villageois arrêtés dans des fosses au bord de la route menant au village de Tandiama.» Quatre sont toujours portés disparus. «Auparavant, quand les villageois voyaient un soldat blanc parmi les Fama [Forces armées maliennes, ndlr], ils étaient rassurés, ils savaient qu’il n’y aurait pas d’exaction commise contre les civils cette fois-là, témoigne un représentant de la communauté peule originaire de la zone. Mais depuis quelques jours, ça a changé. Les gens doutent et commencent à avoir peur.»

Rotations aériennes

A quelle armée rattacher ces soldats à la peau blanche apparus récemment dans le centre du Mali aux côtés des Fama ? Il ne s’agit pas de la zone d’intervention habituelle de Barkhane. Ni les troupes françaises ni les troupes européennes de l’opération Takuba n’ont mené d’opération dans cette région aux dates indiquées, confirme l’état-major des armées français. Les Casques bleus de la Minusma n’ont pas, eux non plus, patrouillé dans le secteur. Et ils ne se déplacent jamais à l’intérieur des véhicules de l’armée malienne, à la différence des militaires aperçus ces jours-là.

Reste donc l’hypothèse des Russes, qu’ils soient des mercenaires de la société militaire privée Wagner, des techniciens, des formateurs ou des soldats à part entière de l’armée russe. Pour le moment, l’ambiguïté sur leur statut est savamment entretenue par Bamako et Moscou. Ils seraient aujourd’hui 300 à 350 sur le sol malien. Des «instructeurs» sont notamment arrivés à Tombouctou pour «accompagner la livraison d’hélicoptères russes», a indiqué un responsable militaire malien à l’Agence France Presse. Mi-décembre, les soldats français de l’opération Barkhane avaient précisément quitté leur camp de l’aéroport de Tombouctou qu’ils occupaient depuis neuf ans, conformément au plan de retrait des bases du nord du Mali annoncé en juin par Emmanuel Macron.

D’après une enquête menée par France 24, l’arrivée des Russes au Mali a été permise par des rotations aériennes effectuées par un avion Tupolev TU-154M portant le numéro d’immatriculation RA-85042. Cet appareil appartient à «l’unité aérienne 223, une branche de l’armée de l’air russe suspectée par les Nations unies d’avoir été utilisée à plusieurs reprises dans le but de transporter du matériel et des troupes du groupe Wagner», rappelle l’article de France 24. Les 19 et 20 décembre, l’avion RA-85042 a ainsi effectué un vol entre Moscou et Bamako en faisant une première escale en Syrie, puis une seconde en Libye, deux pays où les troupes de Wagner sont déployées. Le même appareil a été repéré à l’aéroport de Bangui, en Centrafrique, où opère également le groupe paramilitaire russe. (rfi.fr)

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