Au regard de défenseurs des droits humains, la fermeture de lieux de culte musulman en France devient problématique, car cette mesure met la lutte contre l’islamisme en porte-à-faux avec l’égalité devant le pouvoir judiciaire. Selon eux, la procédure peut-être décidée sur la base de preuves dont les sources ne sont pas identifiées.
En France, les mosquées sont de plus en plus nombreuses à être fermées grâce un éventail de pouvoirs donnant carte blanche aux préfectures, avec des procédures opaques qui limitent drastiquement les possibilités de recours pour faire annuler les fermetures. Une enquête de Reuters a indiqué que ce constat avait été dressé par des militants des droits humains dans le pays, des membres de la communauté musulmane, des organisations internationales, mais aussi l’Organisation des Nations unies (ONU)… (Autre média)