Alors que les habitants de la province la plus peuplée du Canada se rendent aux urnes, le coût de la vie et la crise du logement ont monopolisé l’attention dans cette campagne. À Toronto, le marché immobilier atteint des sommets.
Chen, 29 ans, vit au centre-ville de Toronto, la plus grande métropole canadienne et aussi la plus chère pour se loger. « Il y a aussi le coût de la vie, le loyer, le prix de l’essence qui a bondi rapidement », explique-t-il au micro de RFI.