Au Japon dimanche soir 10 juillet, deux jours seulement après l’assassinat de l’ex-Premier ministre Shinzo Abe, les élections sénatoriales ont été remportées haut la main par la coalition au pouvoir, conduite par le chef du gouvernement Fumio Kishida. Le traumatisme national causé par cet attentat ne se doublera donc pas d’une crise politique. Pour autant, le plus dur reste sans doute à venir pour l’exécutif japonais… (rfi.fr)