Cet homme avait été interpellé à Dakar le 17 juin dernier, jour de manifestations interdites à l’appel de la principale coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi. Il était soupçonné de « faits d’actes de terrorisme et d’atteinte à la sûreté de l’État ». Sa famille et sa défense dénoncent des « tortures ». De son côté, le procureur a écarté la bavure.
« Mort accidentelle » : c’est qui est inscrit sur l’avis de décès de François Mancabou établi dans la soirée du 13 juillet à l’hôpital principal de Dakar et qui a fuité sur les réseaux sociaux… (rfi.fr)