Le 5 juillet dernier, devant des sénateurs français, Luc Hallade avait qualifié de « guerre civile » la lutte contre le terrorisme car « une partie de la population se rebelle contre l’État et cherche à le renverser ».
En évoquant la situation politico-sécuritaire au Burkina Faso devant les représentants du Sénat français du Groupe d’Amitié France-Afrique de l’Ouest, l’ambassadeur Luc Hallade a affirmé, selon la note du ministère burkinabè des Affaires étrangères, que « l’absence de résultats » sur le plan militaire provoque des frustrations de plus en plus forte dans le pays et que « ce conflit endogène est en réalité une guerre civile »… (rfi.fr)