En Côte d’Ivoire, les avocats de la militante de la société civile Pulchérie Gbalet dénoncent des faits « non établis » dans les accusations portées contre leur cliente. La présidente de l’ONG Alternative citoyenne ivoirienne est actuellement poursuivie pour « entente avec les agents d’une puissance étrangère », en l’occurrence le Mali, pays avec lequel la Côte d’Ivoire est en froid en ce moment. Son avocat rejette ces accusations… (rfi.fr)