L’Union d’action syndicale (UAS) a proposé d’autres niches de mobilisation de ressources pour lutter contre le terrorisme. La plus grande centrale syndicale du pays s’oppose au prélèvement de 1% de salaire net des travailleurs du public et du privé pour soutenir la lutte contre les groupes jihadistes. « L’Union d’action syndicale (UAS) ne peut donner son aval pour la collecte de fonds à mettre à la disposition d’une armée dont la gestion opaque des ressources est décriée », indique la centrale syndicale. Elle a estimé que les fonctionnaires souffrent déjà des crises économiques, sécuritaires et humanitaires… (Apa)