Dans une ruelle pavée de la capitale tunisienne, des toiles sont fixées aux murs d’un jardin voisin pour former des abris. On peut aussi apercevoir quelques tentes, drapées de couvertures pour empêcher la pluie et le froid de pénétrer. Un groupe d’hommes est assis autour d’un feu, eux même entourés par des piles d’ordures ménagères. A la tombée de la nuit, les réfugiés redoutent de nouvelles agressions.
Tous vivent dehors car ils ont été expulsés par leurs bailleurs, soucieux de ne pas être inquiétés à leur tour en louant à des ressortissants d’Afrique subsaharienne.
« Ces feux de camps servent de postes de garde la nuit », explique Josephus en diffusant la scène en direct… (dw.com)