Officiellement, les élections présidentielle et législatives sont toujours prévues en février 2022. Mais plusieurs personnalités soupçonnent les autorités de vouloir gagner du temps et de détourner l’attention.
S’il est une chose qu’Assimi Goïta a apprise, cette dernière année, c’est qu’en dépit de ses protestations, la communauté internationale peut s’accommoder de beaucoup de choses. Mais que ferait-elle si le tombeur d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) devait se maintenir au pouvoir au-delà de février 2022, date fixée pour l’organisation des élections ?
Officiellement, il n’en est pas question, ne serait-ce que parce que les textes qui régissent l’entre-deux constitutionnel qui s’est ouvert en août 2020 l’empêchent, à l’instar de tout ceux qui auront eu à gérer la transition, de briguer un mandat….(Jeune Afrique)