Les principaux groupes rebelles tchadiens en discussion à Doha au Qatar depuis le 13 mars ont exigé samedi 21 mai dans un communiqué la «libération immédiate et sans condition » des six leaders de la société civile. Ils ont été arrêtés et incarcérés après la manifestation organisée le 14 mai pour protester contre la politique française au Tchad. Ils sont accusés notamment de destructions de biens et de troubles à l’ordre public… (rfi.fr)