Depuis le 20 octobre, de nombreuses familles sont sans nouvelles de leurs enfants. Certains ont été arrêtés lors des manifestations du 20 octobre et d’autres auraient été enlevés nuitamment à leur domicile par des militaires et des personnes se réclamant des services de renseignements.
Plusieurs d’entre eux ont été déportés dans les prisons de haute sécurité dans le désert au Nord du pays, selon des ONG de droits de l’homme. Ce que dénonce Céline Narmadji, la présidente de l’Association des femmes pour le développement et la culture de la paix au Tchad. Céline a perdu deux membres de sa famille suite à ces manifestations et est encore sous le choc… (dw.com)