La commission reconnaît problèmes liés à l’utilisation de nouvelles technologies de collecte et de centralisation des résultats pour la première fois.
Un enfer électoral, c’est ainsi que des Nigérians ont décrit les élections de samedi dans leur pays. Des problèmes logistiques et sécuritaires ont entraîné des retards généralisés, provoquant la frustration des électeurs, dont certains n’avaient toujours pas voté jusqu’à dimanche matin. Des accusations de fraudes ont aussi déjà été enregistrées… (Africanews)