Il y a un peu plus de trois mois, le groupe d’expert des Nations unies sur les mercenaires avait tiré la sonnette d’alarme au sujet de graves « violations des droits des droits l’homme » imputables à des paramilitaires russes en Centrafrique. Les experts avaient dénoncé un recours accru à ces sociétés de sécurité privée par les autorités en butte à une nouvelle rébellion depuis les élections de décembre…(RFI)