Conakry avait fermé ses frontières avec le Sénégal, la Guinée-Bissau et la Sierra Leone fin septembre dernier, juste avant l’élection présidentielle. Plusieurs sources officielles avaient alors évoqué des « raisons sécuritaires », et « de possibles opérations de déstabilisation » menées depuis l’extérieur dans le contexte électoral…(RFI)