L’ex-président dénonce « une cour qui n’a pas d’existence légale » et devant laquelle « aucun procès équitable n’était possible ».
Ahmed Abdallah Sambi n’était pas devant la Cour de sûreté de l’Etat mardi à la reprise de son procès pour ‘’ Trahison ’’ ouvert la veille à Moroni, la capitale des Comores. L’ex-président comorien a décidé de boycotter l’audience. Il dénonce une procédure »biaisée »… (Africanews)