Enlevés à la frontière nigéro-burkinabè, début avril, deux cyclistes marocains viennent de retrouver la liberté. Voici venu le temps du débriefing et de l’établissement des responsabilités.
Dans la tragédie sécuritaire que traverse la zone sahélienne, une prise d’otage constitue le casse-tête des casse-tête, pour des États plus ou moins directement engagés dans une guerre bien peu respectueuse des règles internationales en matière de gestion des prisonniers. Les poings quasiment liés, les autorités républicaines subissent alors des chantages cornéliens dont elles ne pourront que rarement dévoiler toutes les coulisses… (Jeune Afrique)