Amnesty International et Omunga, l’ONG locale de défense des droits de l’homme, accusent les forces de sécurité chargées de faire respecter les mesures de restrictions liées au Covid-19 d’avoir tué au moins sept jeunes hommes depuis le début de la crise sanitaire dans le pays en mai dernier.
Ces personnes, dont le plus jeune n’avait que 14 ans, ont été tuées pour avoir bravé l’état d’urgence. Selon une enquête publiée lundi 24 août par ces organisations, la police et l’armée usent de la violence sous couvert de lutter contre la propagation du virus. (Rfi.fr)