Dans un mois, le 5 juin, des élections législatives cruciales pour l’avenir du pays doivent se tenir en Éthiopie. L’UE a déjà fait savoir qu’elle n’enverrait pas d’observateurs, n’ayant pas obtenu d’accord avec Addis-Abeba sur les conditions de leur déploiement. Et malgré les conflits qui ont ensanglanté la Fédération éthiopienne ces trois dernières années, le Premier ministre Abiy Ahmed entend malgré tout, avec ce scrutin, se donner une légitimité démocratique… (Rfi)