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ÉGYPTE. Ramy Shaath, figure de la révolution, libéré de prison

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Ramy Shaaht, 48 ans, a été libéré de prison lundi 3 janvier, a indiqué une source judiciaire à l’Agence France-Presse (AFP). Le militant égypto-palestinien, détenu dans une prison du Caire depuis deux ans, est une figure de la révolution égyptienne de 2011. Il est également le coordinateur de la branche égyptienne du mouvement BDS, pour « Boycott, désinvestissement, sanctions », qui prône la lutte contre Israël et la libération des « territoires palestiniens occupés ».

Ramy Shaaht avait été emprisonné en juillet 2019, soupçonné d’avoir voulu orchestrer des « troubles contre l’État ». Céline Lebrun, son épouse française, n’a pour l’instant pas confirmé l’information. Au moment de l’arrestation de son mari, elle avait été expulsée vers la France. « J’ai entendu parler de la décision mais d’après ce que je sais, il n’est pas encore sorti. On publiera une déclaration quand il sera dehors et dans l’avion », a-t-elle déclaré à l’AFP.

En décembre, cinq organisations de défense des droits humains avaient interpellé le président français Emmanuel Macron sur le sort de ce militant, fils du dirigeant politique palestinien, Nabil Shaath. Un an plus tôt, au cours d’une visite à Paris du président égyptien Abdel Fattah al-Sissi le 7 décembre 2020, M. Macron avait affirmé s’être entretenu avec lui de « cas individuels », dont celui de Ramy Shaath. La situation de M. Shaath « fait l’objet d’un suivi attentif et est régulièrement abordée, y compris au plus haut niveau », a déclaré le mois dernier la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Anne-Claire Legendre.

Un autre militant égyptien des droits humains, le chercheur Patrick Zaki, a été libéré en décembre après 22 mois de détention mais encourt toujours jusqu’à cinq ans de prison pour « fausses informations » à cause d’un article dénonçant les discriminations contre les chrétiens. L’Égypte compte plus de 60 000 détenus d’opinion, selon des ONG. Les États-Unis estiment que le pays viole les droits humains dans tous les domaines et ont en conséquence gelé 10 % de leur aide. (lepoint.fr)

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