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JO 2022. La COREE DU NORD qualifie d’« insulte » le boycott diplomatique

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Suspendue pour les Jeux Olympiques d’hiver de Pékin, du 4 au 20 février 2022, la Corée du Nord a fustigé la position des États-Unis, du Canada, de l’Australie et du Royaume-Uni qui ont annoncé leur boycott diplomatique de la compétition.

Le boycott diplomatique des Jeux olympiques d’hiver à Pékin par les États-Unis et certains de leurs alliés est une « insulte » à l’esprit olympique, ont affirmé vendredi les médias d’État en Corée du Nord.

Selon l’agence officielle KCNA, les autorités sportives nord-coréennes ont envoyé une lettre à leurs homologues chinoises pour condamner ce boycott diplomatique, en vertu duquel les États-Unis, le Canada, l’Australie et le Royaume-Uni n’enverront pas de représentants officiels à Pékin, même si leurs sportifs participeront bien aux compétitions.

« Initiatives contre la Chine »

Washington a justifié cette mesure par la situation des droits humains en Chine. « Les États-Unis et leurs forces vassales dissimulent de moins en moins leurs initiatives contre la Chine pour empêcher le succès de l’ouverture des Jeux olympiques », affirme la lettre citée par KCNA. Ces actes constituent « une insulte à l’esprit de la Charte internationale olympique », poursuit le texte.

La Corée du Nord est le seul pays à s’être volontairement maintenu à l’écart des Jeux olympiques d’été à Tokyo l’an dernier, officiellement par crainte du Covid-19. En réaction, le Comité international olympique (CIO) a infligé en septembre une suspension à la Corée du Nord, qui ne peut donc participer aux Jeux d’hiver à Pékin. Le CIO avait expliqué à l’époque que Pyongyang avait rejeté toutes ses propositions, y compris la fourniture de vaccins aux sportifs nord-coréens, pour participer aux JO de Tokyo en toute sécurité.

La lettre décrit l’absence de la Corée du Nord comme la conséquence de la pandémie et de l’action de « forces hostiles », sans citer lesquelles et sans mentionner la sanction infligée par le CIO. L’absence de la Corée du Nord aux Jeux de Pékin contrastera fortement avec sa présence très remarquée lors des précédents Jeux d’hiver, en 2018 à Pyeongchang, en Corée du Sud. La sœur du leader nord-coréen Kim Jong Un avait assisté à certaines épreuves, et le président sud-coréen Moon Jae-in avait saisi cette occasion pour essayer de faire avancer le rapprochement entre Pyongyang et Washington. (OuestFrance)

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