Alors que la visite à Paris du chef de la diplomatie tunisienne Nabil Ammar semblait s’être bien passée, la publication par le Quai d’Orsay d’un communiqué assurant que la question des droits et des libertés avait été abordée a provoqué une réaction sèche de Tunis.
La visite en France du ministre tunisien des Affaires étrangères a donné lieu à un mini-couac diplomatique entre Tunis et Paris. Dans un premier temps, Nabil Ammar et son homologue française Catherine Colonna avaient pourtant multiplié les messages chaleureux… (Jeune Afrique)