Le géant britannique des hydrocarbures Shell a annoncé lundi se séparer de ses parts dans plusieurs projets communs avec le groupe russe Gazprom en Russie, en raison de l’invasion russe en Ukraine, suivant l’exemple de son compatriote BP.
Comme ce dernier, Shell avait maintenu bon an mal an ces deux dernières décennies une présence en Russie malgré les tensions géopolitiques croissantes, essuyant parfois des revers mais conservant des relations cordiales avec les autorités. Il avait ainsi investi dans le controversé gazoduc Nord Stream 2, dont il compte désormais se délester…