La pression monte contre Kampala. L’exécutif avait jusqu’à fin mai pour montrer qu’il luttait efficacement contre le blanchiment d’argent et le financement des groupes terroristes, sinon le pays sera ajouté à la liste noire des pays à risques. Déjà placé sur une liste grise depuis février 2020, l’Ouganda a eu deux ans pour adopter les réformes nécessaires mais l’échéance risque bien de ne pas être respectée… (rfi.fr)