Environ deux semaines après les violences dont l’institut français de Ouagadougou a été victime, l’heure est au bilan des pertes enregistrées. Et elles sont considérables. Vitres brisées, portes défoncées, murs calcinés, tel est le visage de l’institut français de Ouagadougou, pris à partie le 1er octobre par des manifestants qui accusaient la France de protéger le lieutenant-colonel Paul-Henri Damiba menacé par un putsch… (Africanews)