Deux mois après la publication de la directive mondiale de l’OMS sur l’introduction de contraceptifs injectables auto-administrés, le Maroc est le premier à l’adapter. Le coût reste cependant un défi pour élargir cette option, objet de débat pour son intégration à la couverture de santé.
Un projet pilote d’introduction de contraceptifs injectables auto-administrés a récemment été achevé au Maroc, dans le cadre de la mise en œuvre les directives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les interventions d’auto-soins pour la santé et le bien-être. L’objectif est d’«élargir les options contraceptives disponibles pour les femmes» dans le pays, «réduire les risques associés aux grossesses non désirées» et «encourager le recours aux interventions d’auto-soins pour la santé et les droits et reproductifs». Dans les deux mois suivant la publication de la directive mondiale de l’OMS à cet effet, le Maroc est ainsi devenu le premier pays au monde à l’adapter à sa politique nationale de santé… (Yabiladi)