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Accueil AFRIQUE Sahara : L’impossibilité du référendum expliquée simplement

Sahara : L’impossibilité du référendum expliquée simplement

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Les populations de Tindouf ne représentent pas le peuple Sahraoui et ne sont pas habilitées à décider de la gouvernance dans les provinces du sud. Telle est la conclusion communiquée par un cheikh Saharaoui lors de la première conférence pour la paix au Sahara organisée à Las Palmas à l’initiative du Mouvement Sahraoui pour la paix (MSP). Cette « vérité » rappelle les raisons de l’impossibilité d’organiser un référendum au Sahara.

La milice du polisario, qui dirige les camps de Tindouf en Algérie depuis 50 ans, refuse la négociation et la solution politique qui doit être la résultante des tables rondes entre les 4 parties (Algérie, Maroc, Mauritanie, polisario), décidées par les Nations Unies pour mettre un terme au différend autour du Sahara.

L’Algérie et sa deuxième face le polisario, soutiennent un référendum d’autodétermination malgré que cette option ait été définitivement écartée par les Nations Unies, après le constat de l’impossibilité de la mettre en place. Depuis 2001, la mention du référendum ne figure plus dans les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, organe en charge du traitement du dossier du Sahara.

La principale raison de l’élimination de l’option du référendum est l’absence de réponse à la question « qui est éligible au vote? ». Les listes des populations sahraouies recensées pour le vote, ont été refusées par le polisario qui voudrait faire voter uniquement les personnes résidant dans les camps de Tindouf, en Algérie.

Pourtant, seule une minorité de toute la population sahraouie avait suivi le mouvement séparatiste du polisario qui cherche à établir un Etat indépendant du Maroc dans ses provinces récupérées de la colonisation espagnole en 1975. La majorité des populations sahraouies originelles ayant combattu pour délivrer le territoire de la colonisation espagnole, n’ont pas quitté le Sahara depuis qu’il a été récupéré par le Maroc.

« Toi, ça fait 40 ou 50 ans que tu vis à Tindouf. Mais moi, je ne vous connais même pas, vous êtes des inconnus. Et tu veux venir me gouverner? Je te jure que tu ne me gouvernera jamais au Sahara. Si tu n’as pas de preuve que tu es Sahraoui, si tu n’as pas été recensé par l’Espagne, je te promet que jamais tu ne pourras avoir d’autorité sur nous », a lancé Abdallah Essalhi, cheikh sahraoui, lors de son discours à la réunion à Las Palmas, destinée à examiner la situation du dossier et les propositions pour sortir de l’impasse.

« Jamais tu ne pourras décider pour nous. Si tu es issu de Tindouf, tu ne peux pas décider pour nous. Si tu es algérien, tu ne peux pas décider pour nous. Par contre si tu es de Laâyoune, bienvenue je l’accepte, même si tu as une position contraire à la mienne », a ajouté le chef sahraoui.

Cette déclaration témoigne du refus catégorique des tribus originelles sahraouies, de potentiellement voir des populations non issues du Sahara vivant dans les camps de Tindouf, prétendre être des Sahraouis et vouloir voter pour un référendum.

Pour les Sahraouis, il est inacceptable que des personnes n’ayant aucun lien avec le Sahara, n’ayant jamais mis les pieds au Sahara et, qui plus est, sont nées en Algérie, endoctrinées durant toute leur vie, puissent avoir le droit de voter pour choisir leur mode de gouvernance et décider à la place des vrais Sahraouis ayant été recensés et dont l’appartenance ethnique a été prouvée.

Ce refus est pour le moins justifié, en raison de la politique de remplacement graduel de la population sahraouie initialement arrivée depuis le Maroc à Tindouf en Algérie. Ces 50 dernières années, les autorités algériennes ont intégré aux camps de réfugiés, des milliers d’intrus parmi les tribus sahariennes algériennes ainsi que des pays limitrophes de l’Algérie, afin de frauder et manipuler les résultats des votes dans l’éventualité d’un référendum, et c’est ce qui explique l’acharnement du polisario et de l’Algérie pour la proposition de référendum, le refus de toute autre solution et même de la négociation.

Ce remplacement des Sahraouis est la raison du refus de l’Algérie, en tant que pays hôte de « refugiés », d’autoriser l’entrée d’une mission du Haut Commissariat aux Réfugiés pour le recensement de ces populations établies dans les camps. Et pour cause, cette opération menée par l’agence de l’ONU, permettrait non seulement de compter le véritable nombre des populations sur place, mais révélerait aussi la non filiation au Sahara d’une grande majorité de ces habitants dans camps.

En outre, les calculs du recensement, qui permettent de mesurer la croissance démographique d’une population donnée, en partant du nombre de femmes en état de procréer et de la moyenne d’enfants mis au monde par femme et par année, révéleraient que les chiffres ont été tronqués car la croissance de cette population serait hors normes par rapport à celle arrivée il y a 50 ans.

Selon Hamada El Bihi, de Ligue du Sahara pour la démocratie et les droits de l’Homme, « moins de 20% des habitants des camps de Tindouf sont originaires de Laayoune, Smara » et les autres villes du Sahara. « Les autres sont des Touaregs et des ressortissants de pays limitrophes comme la Mauritanie, le Mali ou le Niger », a-t-il indiqué. (Hespress.fr)

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